I Introduction
La réponse immunitaire est l'interaction de nombreux mécanismes spécifiques et non spécifiques tels que la peau, les muqueuses, les cellules phagocytaires et des suppléments et immunité spécifique T et les cellules B par TCR et BCR.
Un déficit d'un de ces éléments dans les résultats une déficience de la réponse primaire, ces déficits peuvent être premitives (souvent conginitales) ou secondaire (infection virale, un cancer) et thérapeutiques dans les cas de troubles hormonaux (diabète).
II symptomatologie
Nous prenons note des infections graves et répétées.
Les formes graves peuvent être mélangés et découverte à la suite de la vaccination avec des organismes vivants (BCG). Parfois, c'est la famille durant les enquêtes ouvertes à l'occasion de la constatation d'un déficit immunitaire chez un patient, nous allons découvrir une déficience immunitaire symptômes.
L'âge d'apparition des symptômes cliniques, leur fréquence et leur gravité sont très variables, en cas de violation de l'immunité des infections hormonal le plus fréquemment sont ceux de la voie aérienne (respiratoire) et d'autres infections: otites, l'arthrite, la méningite et la septicémie.
les graines en question sont les pneumocoques, les streptocoques, les méningocoques, pour violation de l'immunité cellulaire, il ya une infection intracellulaire particulier les micro-organismes, par exemple une infection virale, la tuberculose et condidoses même.
III Classification des déficits immunitaires spécifiques
Il 3categories:
• prédominance des déficits dans la cellule;
• déficits essentiellement humorale;
• Déficits mixtes.
III.A. Déficits prédominance humorale
Toute classe d'Ig peuvent être affectés à certains moments, le déficit total est sélective et parfois, mais la maladie reste la plus grave est le déficit total.
• Déficit Total humorale
Un globulumine gamma C'est une maladie de Bruton liée au chromosome X.
Elle se manifeste par des infections bactériennes sévères et répétées, c'est à partir du 4ème mois chez le garçon.
Biologiquement il ya une IgG inférieure à 2 g / L avec une absence de circulation de l'immunité cellulaire B et normal, une maladie souvent fatale.
Le traitement est la globuline ATB et gamma toutes les 15 à 20 jours, le mécanisme de l'infection est due à une mutation dans le gène qui code pour la BTK (Bruton Kenasi toxine) responsables de la différenciation précoce des lymphocytes B
Le diagnostic différentiel: l'IDUC: déficit immunitaire commun variable
Les signes cliniques de la maladie de Bruton.
III.B. Déficits prédominance cellulaire
Ceci est lié à une carence de l'immunité cellulaire avec des normales ou légèrement diminué Ig.
• syndrome de DiGeorge
Il s'agit d'une mauvaise formation impliquant le thymus et la parathyroïde, le premier signe est une tétanie néonatale (muscle régidité) et il ya aussi les infections virales et fongiques.
C'est une maladie généralement fatale, la mort survient en quelques mois.
Autres déficits cellulaire: déficit en phosphorylase, le déficit de cette enzyme sons principalement sur la maturation des cellules T
III.C. Déficits mixtes à prédominance
Ce syndrome affecte les jeunes enfants et incompatible avec la vie, dès le premier mois.
Il virales et bactériennes des infections mycosites, de nombreuses variétés peuvent être distingués selon leur patrimoine génétique et des transitions fondées sur des mécanismes immunopathologiques.
IV Déficits prémitives de l’immunité non spécifique
Entraînant des infections graves et répétées:
• Le déficit de la phagocytose ou bactéricides;
• Le manque de mobilité ou de l'adhésion des cellules phagocytaires par le manque de molécules d'adhésion;
• Les déficits en complément sont généralement associés avec le développement de maladies auto-immunes, en plus d'infections.
V Déficits immunitaires secondaires
• immunodéficience secondaire à une tumeur maligne, ce déficit est aggravé par le rayonnement de chimiothérapie ...;
• Déficit de malnutrition;
Carence en protéines • par fuite rénale ou digestive;
• déficit immunitaire secondaire au diabète;
• déficit immunitaire secondaire à des traitements immunosuppresseurs;
• immunodéficience secondaire à des infections bactériennes, parasitaires et virales comme le sida.
mercredi 1 février 2012
L'hypersensibilité type III
I Introduction
En hypersensibilité de type III est formé d'Ag-Ab complexes qui peuvent induire des dommages au site de leur formation ou après le dépôt dans les parois des vaisseaux.
II Les principaux mécanismes
• Action d'AC et de complément sur la paroi vasculaire
Le recrutement de cellules effectrices est par l'activation du complément avec libération de C5a et C3a ont une activité chimiotactique et l'activation des neutrophiles et les macrophages.
L'activation de ces cellules a également porté par le phénomène de l'ADCC.
D'autres cellules sont impliquées dans ces états d'hypersensibilité de type III que: plaquettes, mastocytes, cellules NK, les cellules épithéliales.
III pathologies associées à une hypersensibilité de type III
III.A. Réaction d'Arthus (expérimental)
Dans un animal hyperimmunisés avec une injection intradermique de l'AG à l'AG induit une demi réaction retardée (6 heures après l'injection) macroscopiquement caractérisée par une nécrose de purpura (taches bleu-noir au site d'injection) et histologiquement par une thrombose vasculaire (formation de caillots dans les petits les vaisseaux) provoquant l'obstruction du sang.
Le sang ne passe pas, l'accumulation locale de la nécrose et polynucléaires al'immunofluorescence directe, il ya un dépôt d'IgG et complément.
La réaction peut être transmise à un bénéficiaire en injectant sérum non immun d'une injection vaccinés donateurs locaux et de l'AG.
D'autres modèles est la glomérulonéphrite (inflammation des reins).
III.B. La maladie sérique chez les humains
Après l'injection de gammaglobulines.
III.C. Maladie des éleveurs d'oiseaux
Dans ce cas, le complexe AG-AC va précipiter dans les poumons et provoque des lésions pulmonaires avec toux et dyspnée (difficultés respiratoires).
III.D. Maladie auto-immune
Telles que la polyarthrite rhumatoïde et lupus érythémateux disséminé et la myasthénie et certaines infections chroniques.
VI Facteurs contrôlant la formation et l'effet pathogène de la immunocirculant complexes
• CIC sont formés transitoirement en réponse à toute stimulation antigénique, mais leur présence n'a pas d'incidence pathogène transitoire;
• Dans certaines circonstances, la CPI sont formés pendant des périodes prolongées dans les infections chroniques et de maladies auto-immunes;
• Et enfin, l'AG peut être exogène et inhalées dans les poumons.
Exemple: les poumons des éleveurs d'oiseaux et de poumon de fermier.
Les facteurs qui régissent le dépôt sont:
• Le complément joue un rôle important dans la solubilisation et le transport de CIC;
• Les sujets atteints d'une maladie congénitale se présente souvent à CIC;
• Facteurs immunodynamiques: physiologique dans les domaines de la filtration (les glomérules et les capillaires), cette filtration est augmentée dans une fuite capillaire inflammatoire avec activation locale des neutrophiles, des plaquettes, des mastocytes;
• La classe de l'AC: les pathogènes les plus alternatif dans le III SH sont IgG1, IgG3 et le poids moléculaire.
V Détection de CI
V. A. immuno-histologie
Dépôt de complexes immunitaires dans les lésions a été mis en lumière par immunofluorescence directe.
V.B. Détection de CIC
Il est des facteurs de recherche hematoid, ils sont AC-type IgM qui sont dirigés contre la portion Fc des IgG
La recherche de cryoglobulinémie, ce sont des gammaglobulines ou immunoglobulines qui précipitent au froid (température inférieure à 37 °), il peut être mono ou polyclonaux.
En hypersensibilité de type III est formé d'Ag-Ab complexes qui peuvent induire des dommages au site de leur formation ou après le dépôt dans les parois des vaisseaux.
II Les principaux mécanismes
• Action d'AC et de complément sur la paroi vasculaire
Le recrutement de cellules effectrices est par l'activation du complément avec libération de C5a et C3a ont une activité chimiotactique et l'activation des neutrophiles et les macrophages.
L'activation de ces cellules a également porté par le phénomène de l'ADCC.
D'autres cellules sont impliquées dans ces états d'hypersensibilité de type III que: plaquettes, mastocytes, cellules NK, les cellules épithéliales.
III pathologies associées à une hypersensibilité de type III
III.A. Réaction d'Arthus (expérimental)
Dans un animal hyperimmunisés avec une injection intradermique de l'AG à l'AG induit une demi réaction retardée (6 heures après l'injection) macroscopiquement caractérisée par une nécrose de purpura (taches bleu-noir au site d'injection) et histologiquement par une thrombose vasculaire (formation de caillots dans les petits les vaisseaux) provoquant l'obstruction du sang.
Le sang ne passe pas, l'accumulation locale de la nécrose et polynucléaires al'immunofluorescence directe, il ya un dépôt d'IgG et complément.
La réaction peut être transmise à un bénéficiaire en injectant sérum non immun d'une injection vaccinés donateurs locaux et de l'AG.
D'autres modèles est la glomérulonéphrite (inflammation des reins).
III.B. La maladie sérique chez les humains
Après l'injection de gammaglobulines.
III.C. Maladie des éleveurs d'oiseaux
Dans ce cas, le complexe AG-AC va précipiter dans les poumons et provoque des lésions pulmonaires avec toux et dyspnée (difficultés respiratoires).
III.D. Maladie auto-immune
Telles que la polyarthrite rhumatoïde et lupus érythémateux disséminé et la myasthénie et certaines infections chroniques.
VI Facteurs contrôlant la formation et l'effet pathogène de la immunocirculant complexes
• CIC sont formés transitoirement en réponse à toute stimulation antigénique, mais leur présence n'a pas d'incidence pathogène transitoire;
• Dans certaines circonstances, la CPI sont formés pendant des périodes prolongées dans les infections chroniques et de maladies auto-immunes;
• Et enfin, l'AG peut être exogène et inhalées dans les poumons.
Exemple: les poumons des éleveurs d'oiseaux et de poumon de fermier.
Les facteurs qui régissent le dépôt sont:
• Le complément joue un rôle important dans la solubilisation et le transport de CIC;
• Les sujets atteints d'une maladie congénitale se présente souvent à CIC;
• Facteurs immunodynamiques: physiologique dans les domaines de la filtration (les glomérules et les capillaires), cette filtration est augmentée dans une fuite capillaire inflammatoire avec activation locale des neutrophiles, des plaquettes, des mastocytes;
• La classe de l'AC: les pathogènes les plus alternatif dans le III SH sont IgG1, IgG3 et le poids moléculaire.
V Détection de CI
V. A. immuno-histologie
Dépôt de complexes immunitaires dans les lésions a été mis en lumière par immunofluorescence directe.
V.B. Détection de CIC
Il est des facteurs de recherche hematoid, ils sont AC-type IgM qui sont dirigés contre la portion Fc des IgG
La recherche de cryoglobulinémie, ce sont des gammaglobulines ou immunoglobulines qui précipitent au froid (température inférieure à 37 °), il peut être mono ou polyclonaux.
les troubles de l’éruption
les troubles de l’éruption source: orthofree.com On peut distinguer les accidents d’éruption (survenant au cours de l’éruption physiologique ou pathologique), les éruptions précoces et les retards d’éruption. 1. Accidents d’éruption Stomatites d’éruption Signes généraux Kystes dentigères Mucocèles. 2. Eruption précoce Enfant de 8 ans. Eruption d’un odontome à 3 ans en place de 21, confondu avec une incisive définitive. A noter...
Etat de surface dentaire
La surface dentaire peut être lisse ou modifiée par des
éléments essentiellement horizontaux ou verticaux.
dites aussi lignes de croissance, denses et accentuée
à la naissance. La fonction et L’usure les estampent
avec le temps.
éléments essentiellement horizontaux ou verticaux.
- Les stries de Retzius : Fines rayures horizontales
dites aussi lignes de croissance, denses et accentuée
à la naissance. La fonction et L’usure les estampent
avec le temps.
- Les lobes et les lignes de transition : Définissent La composante verticale permettant de segmenter superficiellement la face vestibulaire.
- Ces éléments modifient la perception de la couleur et particulièrement la luminosité. L’état de surface marqué (dent jeune) provoque une réflexion accrue de la lumière ce qui donne l’aspect d’une dent claire.
De la même façon, des stries horizontales marquées peuvent donner l’aspect d’une dent large, et des composants verticaux marqués peuvent donner l’aspect d’une dent longue ou plus étroite.
Métier assistante dentaire.
L’assistante dentaire aide au quotidien le chirurgien-dentiste. Elle gère les visites des patients, classe les dossiers médicaux, effectue les commandes de matériel destiné aux soins dentaires et en assure la gestion quotidienne. Elle est l’intermédiaire des officines de prothèses dentaires, et s’occupe en outre de la propreté du matériel utilisé par le chirurgien-dentiste lors de ses consultations.
Comment travaille-t-elle ?
Le cabinet dentaire est de manière générale une très petite structure avec un seul employeur, le chirurgien-dentiste. Le plus souvent, ce dernier travaille auprès de tous types de patients. Toutefois, s’il est spécialisé en orthodontie (redressement des dents), ses patients sont en grande majorité des enfants.C’est un métier qui requiert des qualités administratives et relationnelles, nécessitant une large autonomie, dans la mesure où l’aide dentaire travaille souvent seule.
Si ses interlocuteurs privilégiés sont les patients du cabinet, elle a aussi des contacts fréquents avec les caisses de sécurité sociale, les mutuelles et assurances maladie, les laboratoires de prothèses dentaires, les visiteurs médicaux.Ce métier est accessible aux femmes et aux hommes.
Les principales activité
Machines et outils utilisés
Produits et matériaux utilisés
Public et relations sociales
Contact avec des personnes souffrantes ou en cours de soins, urgences possibles
DANGERS ET RISQUES- RISQUES POUR LA SANTE - SURVEILLANCE MEDICALE - RISQUES POUR L'ENVIRONNEMENT - ACTIONS PREVENTIVES - REGLEMENTATION - BIBLIOGRAPHIE. Informations
le salaire
La rémunération mensuelle de départ est de 1 300 euros bruts. Après plusieurs années d’expérience, et en fonction du cabinet dentaire et de son implantation géographique, elle peut monter jusqu'à 1 700 euros bruts/mois.
Comment travaille-t-elle ?
Le cabinet dentaire est de manière générale une très petite structure avec un seul employeur, le chirurgien-dentiste. Le plus souvent, ce dernier travaille auprès de tous types de patients. Toutefois, s’il est spécialisé en orthodontie (redressement des dents), ses patients sont en grande majorité des enfants.C’est un métier qui requiert des qualités administratives et relationnelles, nécessitant une large autonomie, dans la mesure où l’aide dentaire travaille souvent seule.
Si ses interlocuteurs privilégiés sont les patients du cabinet, elle a aussi des contacts fréquents avec les caisses de sécurité sociale, les mutuelles et assurances maladie, les laboratoires de prothèses dentaires, les visiteurs médicaux.Ce métier est accessible aux femmes et aux hommes.
Les principales activité
- . accueillir les patients et gérer les rendez-vous
- . stériliser les instruments
- . suivre les travaux de prothèse
- . suivre les dossiers de prise en charge des patients
- . gérer les stocks du cabinet dentaire
- Machines et outils utilisés
Machines et outils utilisés
- - Téléphone, informatique
- - Amalgameur-doseur, lampe à photopolymériser, bacs à ultrasons, lave-instruments, soudeuse pour mise en sachets, autoclave ou chémiclave, appareil de radiologie
- - Appareil de radiologie
Produits et matériaux utilisés
- - Métaux (argent, mercure, or, nickel, étain, nickel-chrome) ; céramique
- - Gants en latex
- - Produits chimiques :
- plâtre, ciments, résines méthacryliques, cire, silicone
- anesthésiques, antiseptiques (créosote, eugergol, essence de clous de girofle, oxyde de zinc), antibiotiques
- produits de nettoyage, de désinfection et de stérilisation
Public et relations sociales
Contact avec des personnes souffrantes ou en cours de soins, urgences possibles
DANGERS ET RISQUES- RISQUES POUR LA SANTE - SURVEILLANCE MEDICALE - RISQUES POUR L'ENVIRONNEMENT - ACTIONS PREVENTIVES - REGLEMENTATION - BIBLIOGRAPHIE. Informations
le salaire
La rémunération mensuelle de départ est de 1 300 euros bruts. Après plusieurs années d’expérience, et en fonction du cabinet dentaire et de son implantation géographique, elle peut monter jusqu'à 1 700 euros bruts/mois.
La technique de Tip-Edge
Grâce à une approche biomécanique particulière permettant de réduire les phénomènes de friction et leurs conséquences néfastes, la technique Tip-Edge permet d’atteindre les objectifs occlusaux et esthétiques de tout traitement orthodontique.
Le prix de l'implant dentaire
Prix implant dentaire en france (estimations)
Prix implant dentaire à l'étranger* (estimations)
Prix implant dentaire : Prix couronne sur implant : | 850 - 1250 € (avec pilier + vis de cicatrisation) 500 - 800 € |
Mise en fonction : Greffe osseuse : Comblement de sinus : | 0 - 125 € (par implant) 500 - 3000 € 500 - 1000 € (+ prix matériau de comblement) |
Prix implant dentaire à l'étranger* (estimations)
Prix implant dentaire : Prix pilier sur implant : Prix couronne sur implant : | 500 - 850 € (dépend beaucoup de la marque) 100 - 250 € (dépend beaucoup de la marque) 200 - 350 € (zircone, Procera 400-500€) |
Mise en fonction : Greffe osseuse : Comblement de sinus : | / 500 - 1500 € 300 - 600 € (+ prix matériau de comblement) |
*Estimation de prix pour espagne, hongrie, maroc, tunisie, turquie, roumanie, pologne avec des implants dentaires de marque reconnues et des prothèses fabriquées par des professionnels expérimentés travaillant en étroite collaboration avec le centre dentaire.
Lorsque vous demandez un devis pour la pose d'implant dentaire, il est très utile d'avoir le détail du coût global car il comprend plusieurs éléments et pour ne pas avoir de surprises :
- le prix de l'implant dentaire lui-même (partie fixée dans l'os de la mâchoire)
- le prix du pilier sur implant, pièce intermédiaire entre l'implant et la prothèse si nécessaire
- le prix de la vis de cicatrisation sur implant, si nécessaire
- le prix de la prothèse dentaire (couronne, bridge, prothèse partielle ou complète...).
- le prix de la mise en fonction de l'implant dentaire
- le prix des actes pré-implantaires éventuels : greffe, comblement de sinus, extraction, curetage...
Souvent les tarifs sont forfaitaires (implant + pilier + mise en fonction ou pilier + couronne...). Attention donc quand vous comparez les prix. Vous constaterez sûrement sur internet des prix très attractifs pour des marques diffusés que dans certains pays.
Dans tous les cas ne vous fiez pas au prix unitaire de l'implant dentaire, il ne reflète pas toujours le coût global des soins; cela vous évitera aussi les pièges des accroches marketing. Par exemple certaines cliniques dentaires baissent le prix de l'implant pour augmenter celui du pilier et de la couronne, ou facturent des frais d'intervention !
La variation du coût final de l'implant dentaireDans tous les cas ne vous fiez pas au prix unitaire de l'implant dentaire, il ne reflète pas toujours le coût global des soins; cela vous évitera aussi les pièges des accroches marketing. Par exemple certaines cliniques dentaires baissent le prix de l'implant pour augmenter celui du pilier et de la couronne, ou facturent des frais d'intervention !
Elle dépend de nombreux facteurs, entre autres :
- de la marque de l'implant dentaire
- de la prothèse fixée sur l'implant (couronne, bridge, transvissée, stabilisée...)
- des frais fixes et investissements du cabinet dentaire
- Situation (quartier, ville, pays)
- le matériel
- le personnel
- les locaux
- la formation continue
- de vos attentes et choix :
- moins fonctionnel et/ou esthétique mais moins cher
- plus cher mais plus fonctionnel et/ou esthétique
- des choix et méthodes du chirurgien
Le traitement des maladies des gencives
La maladie parodontale ou des maladies des gencives sont la gingivite et la parodontite. Maux de gommes à pieds nus, et touchent environ 80% des adultes. Comment faire face à ces maladies?
Si on peut parler d'un remède pour la gingivite, dans le cas de la parodontite, seulement une stabilisation peuvent maintenant être obtenus. Une bonne raison de jouer la carte de la prévention.
Prévention à l'honneur
Avant tout traitement des gencives, il devrait mettre en place une véritable hygiène dentaire. Parce que sans elle, la guérison ne sera pas satisfaisant et le traitement sera alors inefficace. L'hygiène dentaire se compose de brossage deux fois par jour pendant trois minutes ou plus. Il est également recommandé d'utiliser une brosse à dents souple (pas de continuer à blesser les gencives) et complétée par l'utilisation d'un fil ou des brossettes interdentaires.
Ensuite, l'échelle, trimestrielle ou annuelle, votre dentiste vous recommandera la fréquence qui correspond à vos dents et vos habitudes alimentaires ... L'échelle n'est pas douloureuse et surtout, il ne prévient pas seulement la gingivite, mais il fait aussi de vous un sourire plus éclatant. Lorsque nous avons atteint le stade de la parodontite, une technique plus agressive appelée surfaçage radiculaire (qui élimine le tartre et de profondeur pour éviter l'adhérence microbienne du film) est ensuite utilisée, elle nécessite habituellement une anesthésie locale.
Lutte contre l'infection
La parodontite est une forte infectieuses, généralement des bactéries inoffensives dans la bouche sont invités dans le tissu qui soutient vos dents, ou qu'il n'est pas prêt. Il est donc important de contrôler la multiplication des bactéries. Les moyens à votre disposition pour lutter contre sont simples: bains de bouche antiseptiques et des antibiotiques, même si votre dentiste le juge nécessaire.
Les rince-bouche ne sont pas toutes aussi efficaces que d'autres. Elles sont généralement assez pour ne pas prendre soin parce qu'ils n'atteignent les zones où le brossage classique est efficace, mais est un complément très utile à d'autres traitements. Les antibiotiques les faire, a recommandé que les patients qui sont plus susceptibles de développer des infections facilement et souvent pour un resurfaçage complet.
Dernière étape vers une amélioration: la chirurgie
Si aucune méthode non-invasive a permis d'obtenir des résultats, il peut être nécessaire de recourir à la chirurgie. Trois techniques coexistent, ils dépendent pour traiter les lésions et le choix sera fait avec votre dentiste afin de préserver autant que possible vos dents et gencives:
Si on peut parler d'un remède pour la gingivite, dans le cas de la parodontite, seulement une stabilisation peuvent maintenant être obtenus. Une bonne raison de jouer la carte de la prévention.
Prévention à l'honneur
Avant tout traitement des gencives, il devrait mettre en place une véritable hygiène dentaire. Parce que sans elle, la guérison ne sera pas satisfaisant et le traitement sera alors inefficace. L'hygiène dentaire se compose de brossage deux fois par jour pendant trois minutes ou plus. Il est également recommandé d'utiliser une brosse à dents souple (pas de continuer à blesser les gencives) et complétée par l'utilisation d'un fil ou des brossettes interdentaires.
Ensuite, l'échelle, trimestrielle ou annuelle, votre dentiste vous recommandera la fréquence qui correspond à vos dents et vos habitudes alimentaires ... L'échelle n'est pas douloureuse et surtout, il ne prévient pas seulement la gingivite, mais il fait aussi de vous un sourire plus éclatant. Lorsque nous avons atteint le stade de la parodontite, une technique plus agressive appelée surfaçage radiculaire (qui élimine le tartre et de profondeur pour éviter l'adhérence microbienne du film) est ensuite utilisée, elle nécessite habituellement une anesthésie locale.
Lutte contre l'infection
La parodontite est une forte infectieuses, généralement des bactéries inoffensives dans la bouche sont invités dans le tissu qui soutient vos dents, ou qu'il n'est pas prêt. Il est donc important de contrôler la multiplication des bactéries. Les moyens à votre disposition pour lutter contre sont simples: bains de bouche antiseptiques et des antibiotiques, même si votre dentiste le juge nécessaire.
Les rince-bouche ne sont pas toutes aussi efficaces que d'autres. Elles sont généralement assez pour ne pas prendre soin parce qu'ils n'atteignent les zones où le brossage classique est efficace, mais est un complément très utile à d'autres traitements. Les antibiotiques les faire, a recommandé que les patients qui sont plus susceptibles de développer des infections facilement et souvent pour un resurfaçage complet.
Dernière étape vers une amélioration: la chirurgie
Si aucune méthode non-invasive a permis d'obtenir des résultats, il peut être nécessaire de recourir à la chirurgie. Trois techniques coexistent, ils dépendent pour traiter les lésions et le choix sera fait avec votre dentiste afin de préserver autant que possible vos dents et gencives:
- La technique du lambeau d'assainissement a été d'enlever la gomme de la dent à l'os d'environ racine. Puis le chirurgien va enlever le tartre et la plaque, puis procéder à une réfection du revêtement de la dent pour le polir parfaitement et améliorer l'environnement de l'os de la dent. Enfin, la technique favorisera la guérison complète de la gencive sur la dent et d'éliminer ainsi la poche parodontale.
- La technique de régénération tissulaire guidée, vise à régénérer les tissus de gomme en rétablissant les tissus de soutien perdue par la mise en place d'une membrane (résorbable ou non). Cette membrane forme une barrière à l'intérieur du parodonte et de l'espace ainsi créé, le nouveau tissu peut se reformer.
- Enfin, la technique de la greffe osseuse est utilisée, elle permet lorsque l'os est affecté à remplacer les matériaux synthétiques, est alors une technique de lambeau ou la régénération sera appliquée. Dans tous les cas, il est alors nécessaire de maintenir une excellente santé et contrôler régulièrement l'état des gencives de garder un bon résultat.
La polymérisation ou la mise en moufle
Introduction :
Une fois l’essai fonctionnel des maquettes de montage est réalisé, les maquettes sont
stables et rétentives, restaurant l’esthétique et la phonation.
La dernière séquence de laboratoire consiste à la polymérisation et la finition
des prothèses.
1- Définition :
La cuisson ou mise en moufle est une opération qui consiste à transformer la maquette
de cire en résine thermodurcissable, résistant aux pressions buccales, aux chocs physiques et
thermiques et permettant la fixation des dents prothétiques, tout en gardant la forme de la
maquette et son volume exact.
2- Règles de la polymérisation :
2-1. Règle du mélange :
Le mélange monomère-polymère doit être réalisé de manière que le liquide
monomère imprègne totalement mais sans excès la poudre polymère.
Le mélange doit être introduit dans le moufle au stade plastique.
2-2. Règle de la pureté du mélange :
Toute inclusion de corps étrangers dans le mélange doit être rigoureusement
proscrite.
2-3. Règle du cycle de cuisson :
La polymérisation des résines est réalisée selon un cycle de cuisson composé
de trois étapes :
· Montée de la température jusqu’à 60°c d’une durée minimale
de 90 minutes.
· Cuisson à la température constante de 100°c pendant une durée
d’une heure.
· Refroidissement lent et linéaire de 15 heures minimum.
2-4. Règle des élévations thermiques secondaires :
¨Après polymérisation, toute élévation thermique globale ou localisée est à
exclure.
¨Le grattage par meulage des prothèses lors de leur finition doit être réduit à
sa plus simple expression. 2
¨Le polissage doit s’effectuer sous refroidissement d’eau afin d’éviter tout
échauffement.
2-5. Règle de la température de déformation après recuit :
Une prothèse déjà polymérisée subit une déformation si on lui fait subir
une élévation thermique supérieure à 75°c lors d’une seconde cuisson.
2-6. Règle de l’absorption d’eau :
· Après polymérisation une résine peut soit absorber de l’eau ou
des liquides, soit en perdre.
· Il est important de plonger la prothèse dans l’eau distillée, 48 heures au
moins avant sa mise en bouche. De cette manière une certaine
saturation hydrique de la résine se produit, et va libérer de nombreuses
forces de tension interne, réduisant l’importance de l’hiatus palatin.
3- Différents temps de la mise en moufle :
3-1. Préparation des modèles :
¨Corrections des modèles supérieurs et inférieurs avec élargissement
des zones difficiles à atteindre lors de la finition.
Exp. : les régions des niches rétromolaires (ne jamais modifier le joint
périphérique).
¨Réalisation du « post damming » ou joint postérieur de la prothèse, ce joint
doit être crée selon une bande de 01 à 02 mm de large s’étendant entre
la ligne de flexion du voile et le palais dur sur une profondeur de 01 mm
3-2. Réadaptation et finition des cires :
Cette étape doit être réalisée alors que les deux modèles sont encore fixés sur
l’articulateur.
Les différentes étapes sont :
· Vérification de l’épaisseur des maquettes : au niveau de la voûte
palatine les bases en cire doivent être calibrées entre 01,5 mm au centre
et 02,5 mm à la périphérie.
· Solidarisation des maquettes sur modèles en faisant fondre la cire sur
toute la périphérie de la maquette en comblant la totalité des bords de
l’empreinte et la gouttière du modèle reproduisant le joint périphérique
créant ainsi une étanchéité sans défaut. 3
· La finition des cires : qui a pour objectif de réduire le temps passé au
laboratoire après polymérisation et permettant de ne pas retoucher la
surface de l’extrados dont la couche superficielle est la plus homogène
et la mieux polymérisée et donc la plus résistante à l’abrasion
mécanique.
· Elle consiste entre autre en la reproduction à l’aide d’une spatule à cire
de l’aspect de la fausse gencive dans sa portion marginale ( papille
interdentaire) et moyenne ainsi que la situation de la ligne des collets,
en fonction de l’âge et du sexe du patient.
· Les bords de la future prothèse doivent être épaissis afin redonner
un support suffisant et harmonieux ultérieurement à la lèvre.
· Placer le modèle dans l’eau pour que le plâtre du modèle n’absorbe pas
l’eau de plâtre du moule nécessaire à sa cristallisation lors de la mise en
moufle.
3-3. Mise en moufle et ébouillantage :
· Eliminer toute trace de plâtre au niveau du moufle et de la maquette en
cire.
· Après cristallisation, la surface du plâtre est vaselinée (ou vernie).
· Placer le moufle sur un vibreur, remplir la contrepartie de plâtre.
· Après cristallisation du pâtre, immersion du moufle dans une eau portée
à ébullition.
· Ouverture du moufle et élimination de la cire.
3-4. Préparation de la résine :
¨Dosage :
La préparation idéale est : un volume de liquide pour trois volumes
de poudre.
¨Préparation :
Le liquide est placé dans un récipient en verre, la poudre est mélangée
progressivement jusqu’à saturation.
¨Bourrage :
La résine est modelée en forme de cylindre et est disposée dans
la contrepartie recouvrant les dents. 4
Le moufle est mis sous presse, la pression doit être lente et progressive.
3-5. Polymérisation à chaud :
Le moufle est placé dans un récipient rempli d’eau froide.
La température augmente jusqu’à 60°c et le moufle est maintenu à cette
température pendant 90 minutes , ainsi les parties les plus épaisses polymérisent sans
ébullition du monomère.
La température est ensuite portée à 100°c et est maintenue une heure à cette
température.
Le refroidissement doit être lent, l’idéale est de laisser refroidir une nuit
complète.
Dans certains cas le refroidissement peut être accéléré en retirant le moufle
du récipient, alors il faut laisser le moufle une heure à l’air libre, puis le placer pendant
un quart d’heure sous l’eau courante.
3-6. Finition des prothèses :
· Supprimer les bavures périphériques.
· Dégrossissage des surfaces polies.
· Premier polissage grossier avec des bandes de papier verre montées sur
mandrin.
· Deuxième polissage avec des brosses et de la ponce.
· Dernier polissage avec la poudre d’alumine.
· Les prothèses sont lavées soigneusement dans un détergent habituel.
4. Paramètres de formation de porosités :
- Le déplacement de la température d’ébullition du monomère.
- Mélange non homogène comportant de nombreuses sphérules restées hors de contact
avec le monomère.
- La présence de traces de l’humidité.
- Vernis de mauvaise qualité qui provoque le passage de l’eau du plâtre dans la résine.
- La fermeture non hermétique du moufle.
- Une élévation trop brutale de la température pendant la polymérisatio
Idées reçues à propos des dents de l’enfant
Mon enfant a de la fièvre, probablement due à la dentition.
Faux. Dentition se produisent le plus souvent chez les nourrissons par des gencives enflées et un désir de mâcher, mais ils n'ont pas de fièvre ou tout au plus un peu de fièvre (température autour de 38 ° C). la salive de l'enfant plus que d'habitude, il est parfois irritable et agité. Pour certains, la dentition passent complètement inaperçus. Enfin, il peut arriver que l'enfant est malade en même temps et ont une dentition.
Il est normal d'avoir des problèmes dentaires pendant la grossesse.
Faux. Le proverbe «un enfant, une dent" (en laissant entendre que la mère perd une dent à chaque grossesse) est totalement obsolète. Si la gingivite peut se produire chez les femmes enceintes par les changements hormonaux, il doit être traité correctement afin de ne pas causer une perte osseuse. En dehors de cela, la grossesse ne signifie pas une sensibilité particulière à la pourriture.
Il est inutile de traiter ou de se brosser les dents.
Faux. La dentition de lait est temporaire, mais indispensable pour le bon développement de l'enfant, des mâchoires, et la mise en place parfaite des dents permanentes. Ils méritent un superviseur très important.
Les dents n'ont pas de racines.
Faux. Lorsque la dent bébé tombe pour être remplacé par la dent permanente, sa racine a été absorbée par la dent qui pousse en dessous. C'est précisément cette raison qui provoque la chute de la dent, qui n'a plus la racine.
Il faut s'inquiéter si les dents de lait d'un enfant ne sont pas complètement serrées.
Non, au contraire. Il faut s'inquiéter si les dents de lait d'un enfant entre 3 et 6 ans sont parfaitement étanches et sans espaces entre eux. En effet, les dents de remplacement permanents sont plus grandes que les dents de lait, dents temporaires arcades devrait comprendre des espaces pour compenser ce phénomène.
L'émail des dents est plus fragile que celle des dents permanentes.
VRAI. C'est pourquoi les dents sont plus blanches que les dents permanentes et exposition à l'abrasion. Ce vernis exige aussi plus fragiles suivi attentif des cavités possible, à un âge où le brossage est souvent pas très efficace.
Comme mon enfant n'a pas toutes ses dents permanentes, il n'a pas besoin de consulter un dentiste.
FAUX: Il est essentiel de traiter les "dents" parce qu'ils se préparent en quelque sorte la place pour l'émergence des dents permanentes. En outre, la carie précoce peut survenir à un âge précoce, avant que les dents de lait (carie du biberon)
L'utilisation de la brosse à dents n'est pas impliqué dans l'enfant avant l'âge de 6 ans.
FAUX: Pour protéger les dents des enfants, il est conseillé de leur enseigner l'utilisation de brosses à dents et de la pratique une bonne hygiène buccale dès l'âge de 2 ou 3 ans.
Si mon enfant n'a pas de mal de dents, il est inutile d'aller chez le dentiste.
FAUX: Il est important d'aller chez le dentiste tôt et régulièrement. L'examen oral est un rendez-vous que la prévention doit, en particulier, pour vérifier l'état des dents et la présence éventuelle de caries.Elles peut apparaître à un âge précoce, avant que les dents à feuilles caduques (bouteille de caries)
Faux. Dentition se produisent le plus souvent chez les nourrissons par des gencives enflées et un désir de mâcher, mais ils n'ont pas de fièvre ou tout au plus un peu de fièvre (température autour de 38 ° C). la salive de l'enfant plus que d'habitude, il est parfois irritable et agité. Pour certains, la dentition passent complètement inaperçus. Enfin, il peut arriver que l'enfant est malade en même temps et ont une dentition.
Il est normal d'avoir des problèmes dentaires pendant la grossesse.
Faux. Le proverbe «un enfant, une dent" (en laissant entendre que la mère perd une dent à chaque grossesse) est totalement obsolète. Si la gingivite peut se produire chez les femmes enceintes par les changements hormonaux, il doit être traité correctement afin de ne pas causer une perte osseuse. En dehors de cela, la grossesse ne signifie pas une sensibilité particulière à la pourriture.
Il est inutile de traiter ou de se brosser les dents.
Faux. La dentition de lait est temporaire, mais indispensable pour le bon développement de l'enfant, des mâchoires, et la mise en place parfaite des dents permanentes. Ils méritent un superviseur très important.
Les dents n'ont pas de racines.
Faux. Lorsque la dent bébé tombe pour être remplacé par la dent permanente, sa racine a été absorbée par la dent qui pousse en dessous. C'est précisément cette raison qui provoque la chute de la dent, qui n'a plus la racine.
Il faut s'inquiéter si les dents de lait d'un enfant ne sont pas complètement serrées.
Non, au contraire. Il faut s'inquiéter si les dents de lait d'un enfant entre 3 et 6 ans sont parfaitement étanches et sans espaces entre eux. En effet, les dents de remplacement permanents sont plus grandes que les dents de lait, dents temporaires arcades devrait comprendre des espaces pour compenser ce phénomène.
L'émail des dents est plus fragile que celle des dents permanentes.
VRAI. C'est pourquoi les dents sont plus blanches que les dents permanentes et exposition à l'abrasion. Ce vernis exige aussi plus fragiles suivi attentif des cavités possible, à un âge où le brossage est souvent pas très efficace.
Comme mon enfant n'a pas toutes ses dents permanentes, il n'a pas besoin de consulter un dentiste.
FAUX: Il est essentiel de traiter les "dents" parce qu'ils se préparent en quelque sorte la place pour l'émergence des dents permanentes. En outre, la carie précoce peut survenir à un âge précoce, avant que les dents de lait (carie du biberon)
L'utilisation de la brosse à dents n'est pas impliqué dans l'enfant avant l'âge de 6 ans.
FAUX: Pour protéger les dents des enfants, il est conseillé de leur enseigner l'utilisation de brosses à dents et de la pratique une bonne hygiène buccale dès l'âge de 2 ou 3 ans.
Si mon enfant n'a pas de mal de dents, il est inutile d'aller chez le dentiste.
FAUX: Il est important d'aller chez le dentiste tôt et régulièrement. L'examen oral est un rendez-vous que la prévention doit, en particulier, pour vérifier l'état des dents et la présence éventuelle de caries.Elles peut apparaître à un âge précoce, avant que les dents à feuilles caduques (bouteille de caries)
Mauvaise haleine, pourquoi?
L'halitose est le nom scientifique de la mauvaise haleine. Une part importante de la population en souffre, puisqu'elle touche environ 25% des hommes et femmes. Vous avez déjà eu affaire à quelqu'un au souffle désagréable, mais savez-vous d'où viennent ces odeurs nauséabondes?
Fumer, en plus de nuire à votre espérance de vie, empeste votre haleine. Parmi les 4000 composés chimiques composant la fumée du tabac, certains ont une odeur repoussante. Ces composés s'incrustent dans les voies respiratoires et s'éliminent peu à peu par le souffle.
Bien évidemment, la nourriture que vous ingérez chaque jour peut affecter votre haleine. L'ail, le chou, les oignons et certaines épices sont réputées pour empester le souffle de celui qui les consomme avec trop d'enthousiasme. Les gaz produits par la digestion remontent par l'oesophage et s'échappent par la bouche. Parfois, les substances malodorantes passent par le flux sanguin et contaminent directement les poumons.
Une hygiène dentaire trop négligée est une cause connue d'halitose. Un brossage des dents trop irrégulier laisse des particules en décomposition dans la bouche. Les bactéries prolifèrent alors entre les dents et sur la langue. Les caries que vous ne traitez pas provoquent elles aussi une odeur fétide.
Une bouche trop sèche empêche l'élimination naturelle des déchets buccaux. Si vous souffrez d'une trop faible production de salive et que vous ne la compensez pas par une consommation accrue de liquide, une mauvaise haleine peut en résulter.
Des amygdales cryptiques peuvent également causer l'halitose. Des cellules mortes s'accumulent dans les cavités des amygdales au lieu d'être ingérées, s'y décomposent et se transforment en une substance blanchâtre et nauséabonde appelée caséum.
Si vos sinus sont infectés, l'air expulsé par vos narines peut véhiculer une odeur désagréable.
Dans de rares cas, la mauvaise haleine peut être un symptôme d'une maladie du foie, des poumons, des reins, ou d'une disfonction métabolique. Si votre mauvaise haleine persiste malgré tous les traitements conventionnels, il peut être utile de consulter votre médecin.
Fumer, en plus de nuire à votre espérance de vie, empeste votre haleine. Parmi les 4000 composés chimiques composant la fumée du tabac, certains ont une odeur repoussante. Ces composés s'incrustent dans les voies respiratoires et s'éliminent peu à peu par le souffle.
Bien évidemment, la nourriture que vous ingérez chaque jour peut affecter votre haleine. L'ail, le chou, les oignons et certaines épices sont réputées pour empester le souffle de celui qui les consomme avec trop d'enthousiasme. Les gaz produits par la digestion remontent par l'oesophage et s'échappent par la bouche. Parfois, les substances malodorantes passent par le flux sanguin et contaminent directement les poumons.
Une hygiène dentaire trop négligée est une cause connue d'halitose. Un brossage des dents trop irrégulier laisse des particules en décomposition dans la bouche. Les bactéries prolifèrent alors entre les dents et sur la langue. Les caries que vous ne traitez pas provoquent elles aussi une odeur fétide.
Une bouche trop sèche empêche l'élimination naturelle des déchets buccaux. Si vous souffrez d'une trop faible production de salive et que vous ne la compensez pas par une consommation accrue de liquide, une mauvaise haleine peut en résulter.
Des amygdales cryptiques peuvent également causer l'halitose. Des cellules mortes s'accumulent dans les cavités des amygdales au lieu d'être ingérées, s'y décomposent et se transforment en une substance blanchâtre et nauséabonde appelée caséum.
Si vos sinus sont infectés, l'air expulsé par vos narines peut véhiculer une odeur désagréable.
Dans de rares cas, la mauvaise haleine peut être un symptôme d'une maladie du foie, des poumons, des reins, ou d'une disfonction métabolique. Si votre mauvaise haleine persiste malgré tous les traitements conventionnels, il peut être utile de consulter votre médecin.
La polymérisation ou la mise en moufle
Introduction .Une fois l’essai fonctionnel des maquettes de montage est réalisé, les maquettes sont
stables et rétentives, restaurant l’esthétique et la phonation.
La dernière séquence de laboratoire consiste à la polymérisation et la finition
des prothèses.
1- Définition :
La cuisson ou mise en moufle est une opération qui consiste à transformer la maquette
de cire en résine thermodurcissable, résistant aux pressions buccales, aux chocs physiques et
thermiques et permettant la fixation des dents prothétiques, tout en gardant la forme de la
maquette et son volume exact.
2- Règles de la polymérisation :
2-1. Règle du mélange :
Le mélange monomère-polymère doit être réalisé de manière que le liquide
monomère imprègne totalement mais sans excès la poudre polymère.
Le mélange doit être introduit dans le moufle au stade plastique.
2-2. Règle de la pureté du mélange :
Toute inclusion de corps étrangers dans le mélange doit être rigoureusement
proscrite.
2-3. Règle du cycle de cuisson :
La polymérisation des résines est réalisée selon un cycle de cuisson composé
de trois étapes :
· Montée de la température jusqu’à 60°c d’une durée minimale
de 90 minutes.
· Cuisson à la température constante de 100°c pendant une durée
d’une heure.
· Refroidissement lent et linéaire de 15 heures minimum.
2-4. Règle des élévations thermiques secondaires :
¨Après polymérisation, toute élévation thermique globale ou localisée est à
exclure.
¨Le grattage par meulage des prothèses lors de leur finition doit être réduit à
sa plus simple expression. 2
¨Le polissage doit s’effectuer sous refroidissement d’eau afin d’éviter tout
échauffement.
2-5. Règle de la température de déformation après recuit :
Une prothèse déjà polymérisée subit une déformation si on lui fait subir
une élévation thermique supérieure à 75°c lors d’une seconde cuisson.
2-6. Règle de l’absorption d’eau :
· Après polymérisation une résine peut soit absorber de l’eau ou
des liquides, soit en perdre.
· Il est important de plonger la prothèse dans l’eau distillée, 48 heures au
moins avant sa mise en bouche. De cette manière une certaine
saturation hydrique de la résine se produit, et va libérer de nombreuses
forces de tension interne, réduisant l’importance de l’hiatus palatin.
3- Différents temps de la mise en moufle :
3-1. Préparation des modèles :
¨Corrections des modèles supérieurs et inférieurs avec élargissement
des zones difficiles à atteindre lors de la finition.
Exp. : les régions des niches rétromolaires (ne jamais modifier le joint
périphérique).
¨Réalisation du « post damming » ou joint postérieur de la prothèse, ce joint
doit être crée selon une bande de 01 à 02 mm de large s’étendant entre
la ligne de flexion du voile et le palais dur sur une profondeur de 01 mm
3-2. Réadaptation et finition des cires :
Cette étape doit être réalisée alors que les deux modèles sont encore fixés sur
l’articulateur.
Les différentes étapes sont :
· Vérification de l’épaisseur des maquettes : au niveau de la voûte
palatine les bases en cire doivent être calibrées entre 01,5 mm au centre
et 02,5 mm à la périphérie.
· Solidarisation des maquettes sur modèles en faisant fondre la cire sur
toute la périphérie de la maquette en comblant la totalité des bords de
l’empreinte et la gouttière du modèle reproduisant le joint périphérique
créant ainsi une étanchéité sans défaut. 3
· La finition des cires : qui a pour objectif de réduire le temps passé au
laboratoire après polymérisation et permettant de ne pas retoucher la
surface de l’extrados dont la couche superficielle est la plus homogène
et la mieux polymérisée et donc la plus résistante à l’abrasion
mécanique.
· Elle consiste entre autre en la reproduction à l’aide d’une spatule à cire
de l’aspect de la fausse gencive dans sa portion marginale ( papille
interdentaire) et moyenne ainsi que la situation de la ligne des collets,
en fonction de l’âge et du sexe du patient.
· Les bords de la future prothèse doivent être épaissis afin redonner
un support suffisant et harmonieux ultérieurement à la lèvre.
· Placer le modèle dans l’eau pour que le plâtre du modèle n’absorbe pas
l’eau de plâtre du moule nécessaire à sa cristallisation lors de la mise en
moufle.
3-3. Mise en moufle et ébouillantage :
· Eliminer toute trace de plâtre au niveau du moufle et de la maquette en
cire.
· Après cristallisation, la surface du plâtre est vaselinée (ou vernie).
· Placer le moufle sur un vibreur, remplir la contrepartie de plâtre.
· Après cristallisation du pâtre, immersion du moufle dans une eau portée
à ébullition.
· Ouverture du moufle et élimination de la cire.
3-4. Préparation de la résine :
¨Dosage :
La préparation idéale est : un volume de liquide pour trois volumes
de poudre.
¨Préparation :
Le liquide est placé dans un récipient en verre, la poudre est mélangée
progressivement jusqu’à saturation.
¨Bourrage :
La résine est modelée en forme de cylindre et est disposée dans
la contrepartie recouvrant les dents. 4
Le moufle est mis sous presse, la pression doit être lente et progressive.
3-5. Polymérisation à chaud :
Le moufle est placé dans un récipient rempli d’eau froide.
La température augmente jusqu’à 60°c et le moufle est maintenu à cette
température pendant 90 minutes , ainsi les parties les plus épaisses polymérisent sans
ébullition du monomère.
La température est ensuite portée à 100°c et est maintenue une heure à cette
température.
Le refroidissement doit être lent, l’idéale est de laisser refroidir une nuit
complète.
Dans certains cas le refroidissement peut être accéléré en retirant le moufle
du récipient, alors il faut laisser le moufle une heure à l’air libre, puis le placer pendant
un quart d’heure sous l’eau courante.
3-6. Finition des prothèses :
· Supprimer les bavures périphériques.
· Dégrossissage des surfaces polies.
· Premier polissage grossier avec des bandes de papier verre montées sur
mandrin.
· Deuxième polissage avec des brosses et de la ponce.
· Dernier polissage avec la poudre d’alumine.
· Les prothèses sont lavées soigneusement dans un détergent habituel.
4. Paramètres de formation de porosités :
- Le déplacement de la température d’ébullition du monomère.
- Mélange non homogène comportant de nombreuses sphérules restées hors de contact
avec le monomère.
- La présence de traces de l’humidité.
- Vernis de mauvaise qualité qui provoque le passage de l’eau du plâtre dans la résine.
- La fermeture non hermétique du moufle.
- Une élévation trop brutale de la température pendant la polymérisatio
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